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Nobody I know -

- Petula Clark : Partir, il nous faut


VOGUE EPL 8310



Ce titre signé Lennon-McCartney concédé à Peter et Gordon n'a jamais été interprété officiellement par les Beatles.

Date du dépôt legal : 18 janvier 1965


  • Pochette :

    • Recto :
      • La référence et le logo Vogue sont en bas à gauche.
      • Proximité amusante entre le titre « PUISQUE TU PARS » et « PARTIR, IL NOUS FAUT » situés l’un au dessus de l’autre.




    • Verso:
      • La référence se trouve en haut à droite.
      • Au centre le titre "Partir, il nous faut" est crédité Lennon - McCartney, le patronyme de ce dernier est correctement orthographié.
      • Les paroles françaises sont de Georges Aber.
      • Sur le côté droit le nom de l'imprimeur Dillard ainsi que le nom du photographe Roland Bianchini, auteur du cliché illustrant le recto.






  • Labels :
    • Le titre "Partir, il nous faut" occupe la plage 1 de la face 2.
    • La référence, le sigle BIEM et la mention "Made in France se trouvent à droite.







Aucun lien entre le texte original et le texte français, aucun thème en commun. La formulation « Partir, il nous faut » est étrange mais Petula est anglaise, ceci explique sans doute cela.
NOBODY I KNOW

Nobody I know could love me more than you,
You can give me so much love it seems untrue,
Listen to the bird who sings it to th tree,
And then when you've heard him see if you agree,

Nobody I know could love you more than me.
Everywhere I go the sun comes shining through,
Everyone I know is sure it shines for you,
Even in my dreams

I look into your eyes,
Suddenly it seems
I've found a paradise,
Everywhere I go the sun comes shining through,

It means so much to be a part of a heart of a wonderful one,
When other lovers are gone we'll live on,
We'll live on.
Even in my dreams

I look into your eyes,
Suddenly it seems
I've found a paradise,
Everywhere I go the sun comes shining through,

Nobody I know could love me more than you,
You can give me so much love it seems untrue,
Listen to the bird who sings it to the tree,
And then when you've heard him see if you agree,

Nobody I know could love you more than me.
Nobody I know could love you more than me.
PARTIR IL NOUS FAUT

Partir, il nous faut chercher plus loin l'amour.
Partir, il nous faut, mais souviens-toi qu'un jour:
le ciel était bleu—on s'est rencontrés.
Aujourd'hui il pleut, il faut se quitter.

Un beau ciel tout bleu n'y pourrait rien changer.
Partir, il nous faut, l'amour s'en est allé.
Comme il faisait beau au temps où l'on s'aimait.
Où est-il l'oiseau qui venait chanter?

Perdu tout là-haut
il s'est envolé.
Le chant d'un oiseau
n'y pourrait rien changer.

Les souvenirs sont faits de rien.
Un détail quelquefois vous revient.
Non, on n'oublie jamais rien quand le cœur se souvient.
 
L'enfant qui riait
quand on s'est connus,
je l'entends pleurer
en bas dans la rue.
Le rire d'un enfant n'y pourrait rien changer
 
Partir, il nous faut, le cœur plein de regrets.
Comme il faisait beau au temps où l'on s'aimait.
Aujourd'hui il pleut, adieu bel oiseau.
L'enfant aux yeux bleus a le cœur bien gros,
mais rien de tout ça n'y pourrait rien changer.
 
Non, rien de tout ça n'y pourrait rien changer.